Les pionniers et pionnières établis par mariage au Canada 1617-1825

 

Cette base de données sur les pionniers et pionnières établis par mariage au Canada entre 1617 et 1825 a été compilée par l’historien et généalogiste Marcel Fournier à partir des informations contenues dans la série de 13 volumes Nos origines en France des débuts à 1825 publiés par Normand Robert entre 1984 et 1998. L’index cumulatif de ces publications a été réalisé par Micheline Perreault en 2006.

À ces publications, nous avons ajouté des données nominatives tirées des titres suivants : Catalogue des émigrants catholiques des Îles Britanniques avant 1825 (Robert et Thibault, 1988) ; Les captifs de la Nouvelle-Angleterre 1675-1760 (Fournier, 1992) ; Les Européens au Canada des origines à 1765 Hors France (Fournier, 1989) ; Fichier Histor 1731-1825 (Jetté, 2011) ; Les troupes allemandes et leur établissement au Canada 1776-1783 (Ritchot, 2011) ; Dictionnaire des souches allemandes et scandinaves au Québec (Kaufholtz-Couture et Crégheur, 2013) ; Le régiment suisse de Meuron au Bas-Canada (Vallée, 2005) et Les mariages non-catholiques de la région de Montréal 1766-1899 (BAnQ, 2018).

D’autres sources ont aussi été consultées pour la réalisation de cette base de données, plus particulièrement des publications sur l’origine des pionniers du Québec ancien (Bretagne, Vendée, Normandie, Paris, Poitou, etc.) ainsi que des bases de données disponibles en ligne telles que le PRDH, Fichier Origine, Geneabank et Geneanet pour ne citer que les plus importantes.

La base de données des pionniers et pionnières établis par mariage au Canada compte 14 671 entrées et couvre la période de 1617 à 1825. Comme il s’agit d’une base de données démographique, seule l’année de la naissance et l’année du mariage des pionniers et pionnières sont indiquées puisque ces informations sont disponibles dans le Fichier Origine, le PRDH ou Généalogie Québec.

Dans la présente base de données, nous avons voulu identifier le plus précisément possible l’origine des pionniers et pionnières. Pour certains migrants de religion protestante, nous avons dû nous restreindre à l’identification « pays anglophone » n’ayant pas pu déterminer s’ils sont originaires des îles Britanniques ou de la Nouvelle-Angleterre. À propos du métier ou de la profession à l’arrivée, nous avons inscrit « Migrant-e » lorsqu’il n’a pas été possible de trouver une occupation précise à la date la plus rapprochée de son arrivée au Canada.

Cette base de données est complète pour les pionniers et pionnières dont les patronymes débutent par les lettres A à F seulement. Pour les suivants, la recherche se poursuit pour valider les lieux d’origine, préciser l’année de la première mention au Canada et identifier l’occupation à l’arrivée. Une mise à jour annuelle sera effectuée.