La contribution des pionniers de la ville de Paris
au peuplement du Canada 1617-1850

(À paraître chez Septentrion en septembre 2018)

Présentation

La ville de Paris est le lieu d’origine de 907 pionniers et pionnières de la Nouvelle-France dont 225 filles du roi. Les recherches concernant les ancêtres parisiens ont, de tout temps, causé des difficultés aux généalogistes en raison de la perte des registres de l’état civil parisiens survenue en 1871. Jusqu’à la Révolution française, la capitale disposait, depuis le XVIe siècle, d’un nombre particulièrement important de registres paroissiaux, du fait de sa population et du nombre très élevé de ses paroisses. La majeure partie des archives de Paris a disparu lors des incendies de la Commune de Paris le 23 mai 1871, notamment les registres paroissiaux et d’état civil du XVIe siècle à l’année 1860. Le même jour, le Palais de Justice était lui aussi la proie des flammes. Les doubles des registres étaient par conséquent détruits. Cette perte incommensurable a rendu souvent difficile la recherche des familles parisiennes.

Les actes notariés conservés au Minutier central des notaires de Paris constituent sans aucun doute la plus importante source archivistique pour reconstituer une bonne partie de l’ancien état civil parisien. Les contrats de mariage, les testaments et les inventaires après décès permettent souvent d’établir, avec une grande précision, les filiations, les dates de naissance, de mariage et de décès de nombreux Parisiens.

Les recherches entreprises, depuis une dizaine d’années, par le généalogiste français Jean-Paul Macouin dans les archives du Minutier central des notaires de Paris permettent d’en connaître davantage sur les pionniers originaires de la ville de Paris. À l’aide de ses travaux et de ceux de plusieurs autres chercheurs, il est maintenant possible de rédiger un véritable dictionnaire biographique des pionniers de Paris au Canada depuis la fondation de la colonie jusqu’en 1850. Le répertoire en préparation comprendra les notices biographiques de 983 pionniers et pionnières originaires de la ville de Paris.

 

Les notices biographiques

 

Pour éviter de reprendre les textes de chercheurs tels qu’Archange Godbout, Michel Langlois, René Jetté, et autres, nous avons préféré identifier les éléments de la vie familiale des pionniers qui étaient moins connus à ce jour comme les paroisses d’origine
ainsi que leur localisation, les occupations ou les métiers des parents, les lieux de résidence de ceux-ci à Paris, les contrats de mariage et toutes les autres informations qui peuvent intéresser les historiens et les généalogistes français et québécois.

Pour chaque notice, les éléments suivants ont été considérés et recherchés dans différentes sources archivistiques et documentaires de la France et du Canada. Nous avons identifié ci-dessous les principales sources d’origine qui ont servi pour la rédaction des biographies. Seules les sigles suivants ont été identifiés à la suite des notices biographiques : (DBAQ), (DBC), (DGFQ), (DGFC), (FAQ) et (FO).


 

  1. Nom, variante, surnom et prénom du pionnier ou de la pionnière
    Normand Robert, Nos origines en France des débuts à 1825, Île de France, vol. 11., Marcel Fournier, Les Français au Québec 1765-1865. Un mouvement migratoire méconnu (FAQ).
  2. Année de naissance ou du baptême, ou la date précise si connue
    Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal, Fichier Origine de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FO), Base de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo, Dictionnaire biographique du Canada (DBC).
  3. Paroisse d’origine dans la ville de Paris et son arrondissement.
    Normand Robert, Nos origines en France des débuts à 1825, Île de France, vol. 11., Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal, Jacques Hillaret, Dictionnaire historique des rues de Paris, 2 volumes.
  4. Nom des parents (père et mère)
    Normand Robert, Nos origines en France des débuts à 1825, Île de France, vol. 11., Fichier Origine de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FO), Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal, Banque de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo.
  5. Métier ou occupation du père du pionnier ou de la pionnière
    Fichier Origine de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FO), Banque de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo.
  6. Mariage des parents (acte notarié ou paroisse religieuse à Paris ou en France)
    Fichier Origine de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FO), René Jetté, Dictionnaire généalogique des familles du Québec des origines à 1730 (DGFQ). Michel Langlois, Dictionnaire des ancêtres Québécois (1608-1700), 4 volumes. (DBAQ),
  7. Lieu de résidence des parents à Paris
    Fichier Origine de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FO), Jean-Paul Macouin, Les familles pionnières de la Nouvelle-France dans les archives du Minutier central des notaires de Paris, Jacques Hillairet, Dictionnaire historiques des rues de Paris, 2 volumes.
  8. Année d’arrivée ou de première mention en Nouvelle-France et nom du navire si connu
    Marcel Trudel, Catalogue des immigrants 1632-1662, Michel Langlois, Dictionnaire biographique des ancêtres québécois 1608-1700, 4 vols. (DBAQ), Marcel Fournier Registre des malades de l’Hôtel-Dieu de Québec 1689-1760, Charles-Vianney Campeau, Navires en Nouvelle-France 1497-1763.
  9. Métier ou occupation à l’arrivée en Nouvelle-France et par la suite s’il y a lieu
    Marcel Trudel, Catalogue des immigrants 1632-1662, Michel Langlois, Dictionnaire biographique des ancêtres Québécois 1608-1700, 4 vols. (DBAQ), Marcel Fournier, Registre des malades de l’Hôtel-Dieu de Québec 1689-1760, Marcel Fournier, Les Français au Québec. Un mouvement migratoire méconnu 1768-1865. (FAQ), René Jetté, Dictionnaire généalogique des familles du Québec des origines à 1730 (DGFQ), Banque de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo, Dictionnaire biographique du Canada (DBC).
  10. Hospitalisation à l’Hôtel-Dieu de Québec s’il y a lieu
    Marcel Fournier, Registre des malades de l’Hôtel-Dieu de Québec 1689-1760.
  11. Mariage du pionnier ou de la pionnière en Nouvelle-France (date et lieu)
    Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal. Cyprien Tanguay, Dictionnaire généalogique des familles canadiennes, 7 volumes. (DGFC), René Jetté, Dictionnaire généalogique des familles du Québec des origines à 1730 (DGFQ).

12. Contrat de mariage du pionnier ou de la pionnière si connu

Banque de données notariales Parchemin d’Archi-Histo, Normand Robert, Nos origines en France des débuts à 1825, Île de France, vol. 11. Marcel Fournier, Les Français au Québec. Un mouvement migratoire méconnu 1765-1865 (FAQ).

13. Nom du conjoint ou de la conjointe et des conjointes et des conjoints subséquents

Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal.

14. Année de naissance du conjoint ou de la conjointe au Canada

Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal.

15. Lieu d’origine du conjoint du pionnier ou de la pionnière

Programme de recherche en démographie historique de l’Université de Montréal, Banque de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo.

16. Lieu de résidence du pionnier ou de la pionnière en Nouvelle-France

Recensements du Canada de 1666, 1667 et 1681, Recensements de la ville de Québec, 1716 et 1744, Recensement de la ville de Montréal 1741, Aveux et dénombrements de la seigneurie de l’île de Montréal en 1731, Banque de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo, Banque de donnée Pistard de BAnQ. Adhémar, bases de données du groupe de recherche sur Montréal 1642-1805.

17. Mention du retour en France du pionnier ou de la pionnière s’il y a lieu

Programme de recherche en démographique historique de l’Université de Montréal, Banque de données notariales Parchemin d’Archiv-Histo.

18. Lieu et date de décès du pionnier ou de la pionnière en Nouvelle-France ou à l’étranger

Programme de recherche en démographique historique de l’Université de Montréal.

19. Établissement du pionnier ou de la pionnière en Nouvelle-France (ville et village)

Programme de recherche en démographique historique de l’Université de Montréal.

20. Nombre d’enfants

Programme de recherche en démographique historique de l’Université de Montréal

Voici quelques notices à titre d’exemple

1. Abraham, Marguerite, a été baptisée le 5 janvier 1637 dans la paroisse Saint-Eustache, 1er arr. de Paris, fille de Godegrand Abraham, maître pourpointier, et de Denise Fleury. Cette année-là, ses parents résidaient dans une maison de la rue de la Tonnellerie (rue aujourd’hui disparue qui était située dans le quartier des Halles, 1er arr.). Sa mère avait épousé en secondes noces Antoine Hullot par contrat passé le 13 février 1639 devant Me Simon Lemercier. Marguerite Abraham est arrivée en Nouvelle-France en 1665 comme fille du roi sur le navire le Saint-Jean-Baptiste en provenance de Dieppe. Elle a épousé, à l’île d’Orléans par contrat passé le 6 novembre 1665 devant Me Pierre Duquet, Ozanie-Joseph Nadeau dit Lavigne né vers 1637 à Genouillac dans le département de la Charente. À la suite du décès de son mari en 1677, Marguerite Abraham a épousé en secondes noces, à Sainte-Famille, île d’Orléans, le 31 janvier 1678, Guillaume Chartier né vers 1636 à La Haie-Fouassière dans le département de la Loire-Atlantique (ct Duquet, 26-01-1678). Aux recensements de 1666, 1667 et de 1681, Marguerite Abraham habitait à Sainte-Famille. Elle est probablement décédée à Beaumont peu de temps après le 9 novembre 1695. Famille établie à l’île d’Orléans, cinq enfants sont nés de son premier mariage. (DBAQ, vol. 1, p. 21) (DGFQ, p. 844) (FO-240002)



64. Berlinguet, François, a été baptisé le 12 mai 1702 dans la paroisse Saint-André-des-Arts, 6e arr. de Paris (église aujourd’hui disparue qui était située sur la place du même nom, quartier de la Monnaie, 6e arr.), fils de Guillaume Berlinguet, maître serrurier, et de Catherine Benoît. Au début des années 1700, ses parents ont habité dans la rue de l’Hirondelle, quartier de la Monnaie, 6e arr. François Berlinguet est arrivé en Nouvelle-France peu avant 1724 comme serrurier. Il a épousé, à Québec le 18 septembre 1724, Marie-Madeleine Hévé née à Québec en 1705 (ct Dubreuil, 17-09-1724). À la suite du décès de sa femme, il a épousé en secondes noces, à Québec le 9 septembre 1738, Marie-Marguerite Gauvreau née à Québec en 1717 (ct Latour, 08-09-1738), puis en troisièmes noces, à Québec le 2 novembre 1749, Marie-Madeleine Girard née en 1728 à Beaumont (ct Dulaurent, 12-11-1749). Au recensement de la ville de Québec en 1744, il habitait la rue sous le fort dans la basse ville. Marchand et négociant de la ville de Québec, François Berlinguet est décédé le 20 janvier 1764. Famille établie à Québec, quatorze enfants de ses trois mariages. (DGFQ, p. 88) (FO-250017)


225. Cressé de Saint-Médard, Michel, est né vers 1641 dans la paroisse Saint-Médard, 5e arr. de Paris, fils de Pierre Cressé, maître barbier et maître chirurgien, et d’Anne Cormy. Ses parents ont passé un contrat de mariage devant Me Guillaume Leroux le 10 octobre 1631. Son père a toujours habité dans une maison de la rue Barre-du-Bec (aujourd’hui partie de la rue du Temple entre les rues de la Verrerie et Saint-Merri, 4e arr.). Son père est décédé à Paris le 28 octobre 1660. Michel Cressé, bourgeois de Paris, avait acquis du sieur Arnault Tarey de Laubia, capitaine dans le régiment de Carignan-Salières, la seigneurie de la Rivière Nicolet par un contrat passé à Paris le 27 février 1673. Il est arrivé en Nouvelle-France à l’été 1673 pour prendre possession de sa seigneurie. Michel Cressé a épousé, à Québec le 18 juin 1674, Marguerite Denys de la Trinité née vers 1651 à Tours dans le département de l’Indre-et-Loire (ct Becquet, 12-06-1674). Au recensement de 1681, il habitait à Nicolet. Il est rentré en France vers 1682 sans sa femme qui est demeurée au pays pour gérer la seigneurie. Michel Cressé est décédé en France avant le 19 novembre 1687. Famille établie à Trois-Rivières, quatre enfants. (DBAQ, vol. 1, p. 489) (DGFQ, p. 291) (FO-310108)


622. Marier, Denise, est née vers 1654 dans la paroisse Saint-Paul, 4e arr. de Paris, fille de Pierre Marier, maître d’armes et prévôt de Paris, et de Jeanne Loret. Ses parents ont passé un contrat de mariage le 23 février 1648 devant Me Pierre Muret. Cette année-là, son père résidait dans une maison de la rue Neuve des Petits-Champs (aujourd’hui rue des Petits-Champs, quartier du Palais-Royal, 1er arr.) En 1654, ses parents habitaient dans une maison de la rue Saint-Paul, quartier Saint-Gervais, 4e arr. Elle est arrivée en Nouvelle-France en 1673 comme fille du roi sur le navire la Nativité en provenance de Normandie. Denise Marier a épousé, à Montréal le 12 février 1674, Jean Quenneville né en 1653 à Rouen dans le département de la Seine-Maritime (ct Basset, 12-01-1674). Au recensement de 1681, elle habitait à Montréal. À la suite du décès de son mari en 1701, elle a épousé en secondes noces, à Lachine le 15 mai 1704, Jean Gilbert dit Laframboise né en 1647 à Beauquesne dans le département de la Somme (ct Adhémar, 15 mai 1704). Elle a été inhumée à Montréal le 31 août 1720. Famille établie à Lachine, 11 enfants sont nés de son premier mariage. (DBAQ, vol. 3, p. 366) (DGFQ, p. 915) (FO-360055)


629. Martel dit Lamontagne, Honoré, est né vers 1632 dans la paroisse Saint-Eustache, 1er arr. de Paris, fils de Jean Martel, marchand de chevaux, et de Marie Duchesne. Ses parents ont passé un contrat de mariage le 27 janvier 1624 devant Me Jean de Quatrevaux. Cette année-là, son père résidait dans une maison de la rue Perdue (aujourd’hui rue Maître-Albert, quartier Saint-Victor, 5e arr.). En 1668, ses parents résidaient dans une maison de la rue des Ursulines, quartier Val-de-Grâce, 5e arr. Il est arrivé en Nouvelle-France le 30 juin 1665 sur le navire le Brézé comme soldat de la compagnie de Berthier au régiment de l’Allier. Au licenciement du régiment en 1668, il décide de s’établir au Canada. Honoré Martel dit Lamontagne, habitant de Gaudarville, a épousé à Québec, le 26 novembre 1668, Marguerite Lamireau née à Paris vers 1645. (ct Becquet, 17-11-1668). Il habitait à Neuville au recensement de 1681 puis il est retourné à Québec en 1689 et habitait dans une maison de la rue Saint-Louis. À la suite du décès de sa femme en 1706, il a épousé en secondes noces, à Québec le 3 novembre 1707, Marie Marchand née vers 1660 à La Rochelle dans le département de la Charente-Maritime (ct Chambalon, 26-10-1707). Honoré Martel dit Lamontagne, scieur de long, est décédé dans la région de Québec en 1712 ou en 1713. Famille établie à Québec, quatorze enfants. (DBAQ, vol. 3, p. 379) (DGFQ, p. 776) (FO-380069)



699. Pars, de, Marie-Hélène, est née vers 1638 dans la paroisse Saint-André-des-Arts, 6e arr. de Paris (église aujourd’hui disparue qui était située sur la place du même nom, quartier de la Monnaie, 6e arr.), de parents dont on ignore les noms. Elle a épousé, à Paris vers 1655, Pierre Picoté, sieur de Bélestre, né à Paris vers 1636. Deux enfants sont nés à Paris : Hélène vers 1656 et Françoise vers 1659. Elle est arrivée en Nouvelle-France en 1663 comme migrante avec ses deux filles pour rejoindre son mari arrivé au pays en 1659. Aux recensements de 1666 et de 1667, elle habitait dans une maison de la rue Saint-Paul à Montréal. Au recensement de 1681, elle était veuve et habitait au même endroit. Marie-Hélène de Pars est décédée à Québec novembre 1684. Famille établie à Montréal, six enfants. (DGFQ, p. 9145) (DBC, vol. 1, p. 559-560) (FO-243286)

Une publication à paraître aux Éditions du Septentrion en septembre 2018

La publication qui sera disponible au printemps 2018. En plus de la présentation des notices biographiques, l’étude comprendra les chapitres suivants :

- Bref historique de la ville de Paris des origines à nos jours
- Les lieux de mémoire franco-canadiens de la ville de Paris
- Les anciens registres civils et religieux de la ville de Paris
- Des données sociodémographiques à propos des Parisiens établis par mariage au Canada entre les années 1617 et 1850

Plusieurs index seront également disponibles pour faciliter la recherche

- Index des surnoms et de variantes
- Index des paroisses parisiennes d’origine
- Index des conjoints et des conjointes
- Index des lieux d’établissement au Canada

Ce livre est la première publication qui identifie tous les pionniers et pionnières établis par mariage au Canada entre 1617 et 1850.

Marcel Fournier, AIG
Historien et généalogiste
Longueuil (Québec), le 5 avril 2018

Info congrès de généalogie de Poitiers 2015

Le XXIIIe congrès de la Fédération française de généalogie se tiendra à Poitiers les 2, 3 et 4 octobre 2015. Le congrès, qui a pour thème Poitou et Nouvelle-France, aura lieu au Palais des congrès du Futuroscope de Poitiers situé à Chasseneuil-du-Poitou, à quelques 12 km du centre-ville de Poitiers. Vous pouvez consulter le site du congrès à l'adresse suivante : http://www.poitiersgenealogie2015.fr/ pour connaître le programme complet du congrès (conférences, exposants, activités, expositions, excursions, etc.)

Le salon de la généalogie proposera plus de 150 stands (associations, centres d'archives, éditeurs, etc.). Le Québec sera représenté par cinq stands : Commission franco-québécoise sur les lieux de mémoire communs ; Fédération québécoise des Sociétés de généalogie ; Fédération Histoire Québec ; Société généalogique canadienne-française et Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Deux expositions franco-québécoises y seront aussi présentées.

Les Québécois qui souhaitent s'inscrire au congrès et à certaines prestations offertes doivent compléter le formulaire ci-joint et inscrire leurs choix. En vertu d'une entente négociée entre le Comité organisateur du congrès de Poitiers et le Comité québécois du congrès de Poitiers, tous les congressistes québécois bénéficieront d'une remise de 20% par rapport aux autres congressistes. Si vous ne souhaitez pas prendre les repas du midi, un stand de restauration rapide sera disponible au palais des congrès où vous pourrez payer sur place. Pour la soirée culturelle, le lieu est distant d'environ 1km du centre des congrès. Il faudra vous assurer votre déplacement à pied aller-retour.

Si vous ne vous inscrivez pas au congrès de Poitiers, vous serez libre pendant les deux ou trois jours où votre groupe séjournera à Poitiers ou à Chasseneuil-du-Poitou. Vous pourrez toutefois visiter le salon de la généalogie en défrayant des frais d'entrée journaliers de 5 euros. Par contre, vous ne pourrez pas assister aux conférences ni visiter les expositions. Vous pourrez aussi vous inscrire aux excursions organisées par le Comité organisateur en complétant le formulaire disponible sur le site Internet du congrès de Poitiers.

L'Hôtel Alteora (http://www.hotel-alteora.com/), où seront logés la plupart des congressistes québécois, est un hôtel moderne de trois étoiles comptant 295 chambres avec deux restaurants et un bar. L'hôtel est situé à moins de 200 mètres du Palais des Congrès et à 50 mètres de l'hôtel où aura lieu le banquet du samedi soir.

Un service d'autobus urbain relie le Palais des congrès au centre-ville de Poitiers au tarif de 1,5 euros par trajet. Le coût d'un trajet en taxi est d'environ 20 euros. La gare TGV est située sur le site du Futuroscope et relie Paris en moins de deux heures.


Vous devez retourner votre formulaire dûment complété avant le 15 avril 2015 si possible en même temps que le formulaire d'inscription au voyage en France

Vincent Deghetto
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Agence de voyage CAA-Québec,
service groupe1180, rue Drummond, 7e étage
Montréal (Québec) H3G 2R7
   

Depuis 1972, Marcel Fournier a publié une trentaine d’ouvrages en histoire et en généalogie. Ses publications traitent de l’histoire de villages du Québec, des sciences généalogiques et de l'origine des Québécois. Pour connaître la liste complète des livres de l'auteur, vous pouvez consulter le catalogue Iris de la Bibliothèque nationale du Québec. Parmi les publications en histoire et en généalogie de Marcel Fournier, certains titres sont encore disponibles auprès de l'auteur ou des éditeurs. Le prix est indiqué pour chaque publication auquel il faut ajouter des frais de poste.

Les publications de Marcel Fournier contiennent plus de 15 000 notices biographiques, une source de renseignements essentiels pour les historiens, les biographes et les généalogistes. Ces publications sont aussi disponibles à la consultation dans la plupart des grandes bibliothèques du Canada.

Marcel Fournier a écrit et publié plus d'une centaine d'articles dans les revues d’histoire et de généalogie ou dans des ouvrages collectifs au Québec et en Europe. La plupart des articles sont recensés dans le site Internet de la Index des périodiques. Les écrits de Marcel Fournier se divisent en quatre catégories. Dans le cas des publications disponibles dans des sites Internet, l’adresse de l’URL est indiquée pour chaque livre.

Certains articles sont également publiés sur le site Internet dans la section Histoire.

 

1. Les principales publications (livres et brochures)

2. Les textes publiés dans des ouvrages collectifs, les actes des congrès et colloques

3. Les textes publiés dans des revues d’histoire et de généalogie

4. Les préfaces dans des livres

 

Il est important de noter que les textes de Marcel Fournier sont sujets à des droits d’auteur et ne peuvent être reproduits sans autorisation préalable.